Le journal de Dorian Sartoris...
une histoire extraordinaire
Le cœur trop grand, l'enfant mal décidé à devenir adulte, l'âme pleine de secrets impartageables, Il marchait comme un vagabond plein de couleurs dans les yeux, allant de place en place,Avant qu'in n'ait trouvé là-bas son enfer aussi définitif que nul...
Fiscalité, Impôt frappant la fabrication ou la vente de produits déterminés.
J'ai parfaitement le droit d'aimer ces années mortes, Même si elles m'obstruent de leurs larmes, Un précoce déjà passé. Images sans amour, reflet d'un passé joyeux !
Une ennuyeuse, Lente, déplaisante, Qui m'invite à la suivre.Comme un chemin sans raison, Une Histoire que l'on ne saurait peindre. Bêtise immédiate Mais pas Indigne. Dès lors qu'il ne vous reste plus qu'une oreille, il faut savoir Voir ! Tout est Là.
C'est avec la permission des autorités de cette ville, Messieurs et Mesdames, que je viens ici même sur cette place, moi, Ignace, Pancrace, Boniface, Loyace, Syntaxe de Krockembale, grand archevêque des Espagnols et fils du célèbre navigateur de ce nom...
Alors je m'envolerai par un rideau pour aller, chez Moi.
Il m'apparaît souvent que ma route est déserte. Et je m'enfonce à tâtons dans ce noir d'ancre, Sans savoir si, j'avance ou si... Tout cela n'est qu'un cauchemar grandiloquent ! Un rêve sans nuit Des pas sans le chemin en somme .
Immensité déserte d'un cœur sans âme, Vide stellaire en bandoulière, Rues désertées, passants évanescents, Tout va bien. Juste, un dernier supplice.